Six entreprises de la r�gion � Boston

P�LE QCA, en compagnie de six entreprises et de deux soci�t�s d�investissement de la r�gion, prenaient part le 30 mars dernier � Boston � une journ�e de financement enti�rement consacr�e aux entreprises de Qu�bec et Chaudi�re-Appalaches.

Cette journ�e, organis�e en collaboration avec la D�l�gation du Qu�bec � Boston, a permis aux entreprises pr�sentes de rencontrer une dizaine de soci�t�s de capital de risque am�ricaines qui se sp�cialisent dans les secteurs des technologies de l�information et des sciences de la vie.
 
� Gr�ce � la collaboration de la D�l�gation, nous avons eu la chance de pouvoir fixer les rendez-vous � l�avance avec les soci�t�s de capital de risque... ce qui est rarement possible pour les entreprises �, affirmait monsieur Thierry Champagne, directeur du d�veloppement des affaires du secteur des Solutions et Technologies informatiques de P�LE QCA. � Cette formule a �t� tr�s appr�ci�e des participants puisque les soci�t�s ont eu l�occasion d'y �tudier les dossiers de chaque entreprise avant la rencontre, ce qui a grandement facilit� les �changes �, d'ajouter ce dernier.

Deux sp�cialistes en financement d'entreprises et en commercialisation des hautes technologies ainsi que des avocats sp�cialis�s ont aussi rencontr� les entreprises sur place, leur permettant de la sorte de faire le point sur des �l�ments majeurs dans la recherche de capital de risque am�ricain.

� Les entreprises sont tr�s satisfaites de leur exp�rience �, d�clarait monsieur Jean-Michel Garro, directeur du d�veloppement des affaires du secteur des sciences de la vie de P�LE QCA. � Certaines ont d�ailleurs bon espoir de voir leurs d�marches passer � un autre niveau au cours des prochains mois. �

� Cette journ�e a donc �t� tr�s fructueuse, tant pour les entreprises de la r�gion que pour les compagnies de capital de risque, dont certaines se sont dites tr�s impressionn�es par la qualit� des entreprises pr�sentes. Une des soci�t�s compte d�ailleurs cr�er un fond sp�cial enti�rement destin� aux entreprises qu�b�coises �, conclut monsieur Garro.