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Chronique Deuxi�me transformation du bois

Quand :

avril 2005

Où :

Qu�bec
   

L'UQTR cr�e une Chaire industrielle de recherche sur le meuble
L'Universit� du Qu�bec � Trois-Rivi�res (UQTR) a annonc� la mise sur pied de la Chaire industrielle de recherche sur la productivit� et l'innovation en r�seau dans le secteur du meuble. Cet important projet est rendu possible gr�ce � la participation de l'Association des fabricants de meubles du Qu�bec (AFMQ) et des entreprises du secteur, qui accordent un financement total de 1 200 000 $ permettant d'assurer le fonctionnement de la Chaire pour une p�riode de 5 ans.

La nouvelle Chaire de recherche et de transfert a pour mission de d�velopper, transf�rer et implanter dans l'industrie du meuble des savoirs, des pratiques, des comp�tences et des techniques qui lui permettront d'am�liorer sa productivit� et sa capacit� d'innovation afin d'assurer le d�veloppement durable du secteur dans un contexte de mondialisation. L'objectif sera atteint en travaillant simultan�ment � l'implantation d'un processus d'am�lioration continue de la productivit� et � l'am�lioration de la capacit� des entreprises � d�velopper, en �troite collaboration, de nouveaux produits � la fois plus performants, plus distinctifs et moins co�teux. Dans cette d�marche, les projets seront r�alis�s avec la participation concr�te d'un grand nombre d'entreprises et conduiront au d�veloppement de pratiques exemplaires qui seront ensuite transf�r�es � l'ensemble de l'industrie.

La Chaire sera situ�e � l'Institut de recherche sur les PME (INRPME), l'un des plus importants regroupements de recherche dans son domaine � travers le monde. Plusieurs entreprises de la fili�re Deuxi�me transformation du bois de la ZONE QCA feront partie de cette Chaire, soit : AP Industries, Menuiserie St-Marc inc., Romeo Laflamme et Fils inc., South Shore Industries Ltd. et Tournage de bois Dynastie.

Pour en savoir plus veuillez cliquer sur le lien.


Retour sur Export Alliance Construction : constat sur ce que recherchent les Am�ricains
Les 15 et 16 mars derniers, Lyne Rousseau, directrice du d�veloppement des affaires pour la fili�re Deuxi�me transformation du bois participait � Export Alliance Construction, un �v�nement organis� par le World Trade Center, � Montr�al. 80 participants s�y sont partag�s la quinzaine d�acheteurs pr�sents. Voici quelques �l�ments importants qui peuvent �tre retenus � la suite d�entretiens avec des Am�ricains et lors de conf�rences :

  • Le prix n�est jamais trop bas.
  • Nous ne sommes jamais assez vite pour livrer.
  • Ils sont press�s et s�attendent � voir les produits imm�diatement.
  • Ils sont trop press�s pour innover mais nous au Qu�bec nous sommes bons l�-dedans.
  • Il faut �galement �tre diff�rent si l�on veut leur parler.
  • Il faut que ce soit facile pour eux de travailler avec nous.
  • Ils recommandent d�arr�ter de faire du marketing uniquement sur nos produits et notre prix mais plut�t commencer le marketing par notre image, notre meilleure offre (que pouvons-nous faire de mieux que n�importe qui d�autre ?) et avoir un focus clients.
  • Ils appr�cient les faibles risques donc axer le marketing sur la constance en livraison � temps de qualit�/quantit�.

P�LE QCA organise le 5-6 avril � Montr�al une mission invers�e pour rencontrer des acheteurs am�ricains, et les points mentionn�s ci-dessus pr�sentent de bonnes pistes pour exceller lors de ces rencontres.

Si vous souhaitez en discuter, vous inscrire ou obtenir de l�aide pour vous pr�parer, n�h�sitez pas � communiquer avec Lyne Rousseau, au (418) 953-6276

Retour sur la journ�e Kruger du 14 mars 2005 : la comp�titivit� du Qu�bec sur la sc�ne internationale
Lors de cette journ�e organis�e par la Facult� de Foresterie et G�omatique dans le cadre de la semaine des sciences foresti�res, la conf�rence de Sven Gustavsson, du QWEB a attir� l�attention de plusieurs participants. La pr�sentation avait pour but d�analyser la possibilit� pour les entreprises manufacturi�res qu�b�coises et canadiennes de tirer leur �pingle du jeu gr�ce aux opportunit�s offertes par les syst�mes de construction, les bois d�ing�nierie, les bois feuillus et les autres produits � valeur ajout�e sur les march�s de l�Am�rique du Nord, de l�Europe, du Japon et de la Chine. Par exemple pour le Japon, M. Gustavsson a expliqu� qu�il n�y a pas de 2 X 4. Les gens utilisent du lamell�-coll� pour fabriquer poteaux et poutres. Ils appr�cient particuli�rement l��rable, ce qui lui conf�re une place de choix comme composante de plancher et pour les moulures dans les maisons. Les poutres en I sont �galement peu connues. Il serait donc pertinent de penser � �tablir une usine en Chine pour vendre au Japon. Concernant la Chine, la demande en produits du bois y est tr�s forte. L�ossature en bois est pratiquement inexistante. On pourrait trouver des produits qui s�int�grent bien � des b�timents en b�ton de plusieurs �tages. Il y a �galement beaucoup de besoins en r�novation et nous pourrions penser � d�velopper l�aspect bois. Pour consulter la pr�sentation de M. Gustavsson, veuillez cliquer sur le lien


Stagiaires en transformation du bois � la recherche de stages
Des �tudiants en transformation du bois � la Facult� de Foresterie et G�omatique sont disponibles pour effectuer des stages cet �t� dans vos entreprises de fabrication de meubles, de cuisines, de planchers, de bois d�ing�nierie et structures.

Voici des exemples de fonctions que peuvent effectuer les �tudiants en travaillant conjointement avec vos contrema�tres et chefs d��quipe au sein de divers d�partements :

  • Mettre en place des indicateurs de rendement mati�re (pmp/pi2) selon les essences de bois.
  • Faire une analyse des mati�res premi�res utilis�es pour la fabrication et �mettre un rapport-conseil pour optimiser le mat�riel et le temps homme. 
  • Participer � la mise en place d'une proc�dure en ce qui concerne les r�gles d'utilisation du bois qui consiste en premier lieu de revoir l'organisation du travail.
  • Participer � diff�rents projets afin d'am�liorer les proc�d�s de fabrication ou de d�veloppement de nouveaux produits.
  • Travailler � am�liorer le rendement mati�re et l'efficacit� des contr�les d'humidit�.
  • Proc�der � l'implantation et au contr�le de la qualit� de l'arriv�e du bois brut � l'exp�dition du produit fini.
  • La mise en place d'un syst�me d'�valuation du s�chage et du conditionnement.
  • La standardisation de pi�ces.
  • Calculer les charges et pr�parer les dessins d'ing�nieurs des solives de plancher et des fermes de toit.
  • Participer � la recherche et au d�veloppement des produits.
  • Pr�parer les feuilles de test, les rapports techniques et autres documents connexes.

Si vous �tes int�ress�s � soumettre une proposition de stage, vous pouvez contacter Marjorie Guay � l�Universit� Laval au (418) 656-2446 ou consulter le d�pliant.


Retour sur le s�minaire sur les planchers de bois du 8 mars organis� par QWEB
Actuellement, plusieurs entreprises ressentent la concurrence de la Chine et une grande partie des conf�rences visaient � expliquer les moyens qui peuvent �tre pris afin de se distinguer de ces produits et comment se comporte la comp�tition. Parmi ces moyens, il a �t� question de certification foresti�re qui permet au consommateur de faire la diff�rence entre une for�t am�nag� durablement et les coupes ill�gales ou � rendement non soutenu. �tant donn� que les fabricants de plancher utilisent beaucoup de bois franc, ils demanderont �ventuellement � avoir de la mati�re premi�re certifi�e afin d�offrir cette garantie � leurs clients.

Les Europ�ens sont tr�s friands de nos �rables alors pourquoi ne pas d�velopper au Qu�bec le concept de la route d��rable ? Pour r�ussir dans le plancher, il faut l�int�gration soit l�acquisition de la finition. Il faut travailler sur les vernis pour am�liorer les propri�t�s du bois.

De plus, il faut penser � utiliser lors de la commercialisation l�aspect construction verte et se doter d�une politique environnementale. La demande va de plus en plus vers des maisons saines et les planchers de bois s�int�grent bien � cette notion.

Si vous avez des questions sur ce s�minaire n�h�sitez pas � communiquer avec Lyne Rousseau, au (418) 953-6276. Le CD du s�minaire sera disponible prochainement pour achat au QWEB.


Les Europ�ens d�montrent un vif int�r�t pour les maisons en bois
AFCOBOIS, l'Association Fran�aise des constructeurs Bois, a lan�� r�cemment un concours de conception-construction aupr�s d'�quipes compos�es d'architectes et d'entreprises de construction bois, en r�ponse � un projet du minist�re fran�ais de la Coh�sion sociale de � maisons � 100 000 euros tout compris �.

Au cours des derni�res ann�es, la maison bois s'est fortement d�velopp�e sur un cr�neau moyen haut de gamme, d�laissant quelque peu la maison simple et �conomique. Ce concours aura pour objet de prouver que la maison bois sait �tre �conomique tout en �tant performante (notamment en terme d'isolation thermique), mais aussi de montrer qu'elle se positionne dans un contexte de d�veloppement durable. Vous pouvez consulter le site Internet.
 
Un article de Netbois confirme cet engouement pour les maisons en bois chez les Europ�ens. On y d�crit des maisons � architecture dite �solaire� : des maisons en bois, largement vitr�es au Sud, ouvertes au soleil, prot�g�es du froid du Nord par des murs bien isol�s et ne disposant que de petites fen�tres pour limiter les d�perditions de chaleur.

Les maisons en bois n�es d�une telle architecture r�pondent parfaitement � la probl�matique mondiale soulev�e sur les questions de climat et aux diverses lois que les pays d�Europe veulent mettre en �uvre pour lutter contre le changement climatique en r�duisant les �missions de carbone. Elles r�pondent ainsi � une pr�occupation grandissante de d�veloppement durable.
Pour consulter l�article vous pouvez cliquer sur le lien
 

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